mardi 15 décembre 2015

Bien écrire pour le Web : 17 dossiers pratiques

Sources NETPUBLIC


ecriture
Bien écrire pour le Web pour être compris, visible, et voir son contenu lu, apprécié et partagé, cela compte plus que jamais pour bien des associations, TPE-PME, institutions et EPN qui considèrent le contenu Web comme un moyen de communication et d’échange (voire de marketing) avec les publics cibles.

Spécialiste de l’éditorial Web depuis bien des années, Jean-Marc Hardy propose une actualisation de son dossier concret et utile :44 conseils pour bien écrire – Checklist du rédacteur Webavec des conseils efficaces pour optimiser son écriture Webconcernant les titres, les introductions, le corps de texte, les liens, les images et les vidéos.

44 conseils pour bien écrire sur le Web

But de ces différents points : facilitez le référencement du contenu publié, l’expérience utilisateur pour des articles réellement lus mais aussi donner envie que ces écrits soient partagés (notamment sur les réseaux sociaux).
Dans le contexte d’infobésité (surchage d’informations sur le Web), mettre en oeuvre une approche stratégique via l’écriture Web pour sa visibilité en ligne s’avère essentiel.

Mieux écrire pour le Web : dossiers pratiques et infographies

La liste de points à améliorer proposée est à compléter par des dossiers pratiques et infographies :

Ecrire pour le Web : Outils pratiques en ligne

Des outils en ligne d’optimisation sont également à la disposition des internautes et mobinautes :

vendredi 16 janvier 2015

Définition de la créativité


Définition de créativité
A créativité est la faculté de créer ou la capacité de création. Elle consiste à trouver des méthodes ou des objets pour mettre en œuvre des tâches de façon différente ou nouvelle, dans le but de satisfaire un propos. La créativité permet d’accomplir ce que l’on souhaite de façon plus rapide, facile, efficace, efficiente ou économique.

Le processus d’imaginer et de produire de nouvelles idées ou concepts peut être également défini sous d’autres désignations, à savoir : inventivité, imagination originale, pensée latérale ou imagination constructive.

Ce sont des concepts renfermant l’acte d’inventer quelque chose de nouveau (c’est-à-dire, avoir recours à l’ingéniosité), la capacité d’apporter des solutions originales et la volonté de changer voire transformer le monde.

Depuis plusieurs branches et disciplines, la science étudie la créativité, en quête d’objectifs et de plans logiques et précis. L’inventivité peut être considérée du point de vue technique comme un processus, comme une caractéristique de la personnalité ou comme un produit.

Pour la psychologie, la pensé latérale est une activité contenue par l’imagination, qui consiste à réaliser quelque chose de nouveau ou identique mais de façon différente. De nombreux experts en la matière analysent la relation entre la créativité et l’intelligence.

Par contre, concernant la sociologie, l’imagination constructive (qui est orientée vers des réalisations concrètes) survient à partir de l’intervention de trois variables : le champ (les groupes sociaux), le domaine (le secteur ou la discipline) et l’individu. Cela veut dire qu’une personne réalise des transformations dans un domaine, qui sont évaluées par les groupes sociaux.

D’une façon générale, il y a lieu d’affirmer qu’un sujet dit créatif a confiance en soi, le sens de la perception, une capacité intuitive, de l’imagination, de l’enthousiasme et une curiosité intellectuelle.

jeudi 15 janvier 2015

Des « gestes mentaux » pour apprendre



Apprendre est une activité mentale qui n’appartient qu’à celui qui apprend. Encore faut il « savoir apprendre », et pour cela prendre conscience des gestes mentaux à l’oeuvre dans l’apprentissage. 

La gestion mentale, mise au point par Antoine de La Garanderie, nous donne à cet égard d’utiles points de repère.


Grâce à son long travail d’entretiens et d’observations de personnes en situation d’apprentissage – qu’elles soient en difficulté ou « brillants sujets », enfants ou plus âgées – A. de La Garanderie identifie cinq gestes mentaux fondamentaux, à l’oeuvre dans l’acte d’apprendre:

– l’attention
– la mémorisation
– la compréhension
– la réflexion
– l’imagination créatrice


En premier, vient l’évocation.
Les gestes mentaux « tourneraient à vide » s’ils n’étaient pas alimentés par les représentations mentales de celui qui apprend, autrement dit par les évocations qu’il se forge à propos de ce qu’il lit, écoute, fait etc… « La vie mentale commence quand on transforme le perçu en évoqué » écrit il. « Tous les gestes mentaux sont de nature évocatrice« , c’est à dire que ce sont des représentations autonomes par rapport à la perception qui les a fait naître. Pour bien apprendre, une première étape est donc de prendre conscience de la manière dont j’évoque: en voyant dans ma tête? en me redisant ce que j’ai compris? en réentendant les explications? en faisant appel à mon ressenti? Pour une explication plus approfondie le l’évocation, voir le schéma sur le site http://www.educreuse23.ac-limoges.fr.


Deuxième élément fondamental pour l’apprentissage: le projet. Il n’y a pas d’évocation sans projet d’évoquer. Il n’y a pas d’attention, de mémorisation, ou d’autre geste mental, sans projet spécifique à ce geste. « Le projet est essentiel à la vie mentale ».

Ainsi pour l’attention. Il n’est pas très utile de dire – à un enfant par exemple- « fais attention! », « concentre toi »…L’enfant se tend (ce qui, on l’a vu, est très mauvais pour apprendre), mais cela ne lui dit pas comment faire. Il est bien plus utile de lui dire « regarde (ou écoute) avec le projet de faire exister dans ta tête ».


De même pour la mémorisation: ce geste mental ne s’effectue pas du présent (je dois me souvenir) vers le passé (de ce que j’ai vu ou entendu), mais du présent (je fais le projet de mémoriser l’information que je vais percevoir) vers l’avenir (pour la rendre disponible le moment venu). Le geste mental de mémorisation s’effectue au moment où l’on perçoit l’information, « en se plaçant dans la ou les situation(s) d’avenir où on aura à l’utiliser ». La mémoire, c’est un projet d’avenir…


A. de La Garanderie décompose ainsi le geste de compréhension: « Comprendre, c’est d’abord évoquer ce qu’on perçoit: un texte qu’on lit, un discours que l’on écoute… C’est ensuite réexprimer à sa manière ce qu’on a perçu et le traduire dans son propre langage mental, pour permettre à l’intuition de sens de naitre. C’est enfin confronter cette traduction à l’objet de perception ».


La réflexion implique de « faire un retour sur ses acquis (connaissances, règles, expériences) afin de les utiliser pour résoudre un problème, ou répondre à une question. Elle implique de se donner des images mentales du problème à résoudre, suffisamment précises « pour pouvoir « convoquer dans sa tête » toutes les évocations issues de sa propre expérience qui vont être utiles ».


Combien de pédagogues ont ainsi constatés que bien « qu’ayant compris », bien que « sachant la règle », l’enfant, l’étudiant ou l’adulte en formation ne l’appliquait pas le moment venu! C’est que de la compréhension à l’application, de la compréhension à la restitution, il y a cette étape clé, ce « projet de réflexion » indispensable à la mobilisation de la connaissance.


Face à une difficulté d’apprentissage, c’est donc chaque étape du projet qu’il faut passer en revue avec l’apprenant pour diagnostiquer « le blocage ». Je me souviens ainsi de cette institutrice qui me disait de mon fils aîné, alors âgé de 5 ans, « qu’il n’apprenait pas ses poésies ». L’enfant les apprenait, avec pour projet.. de me les réciter le soir! Une fois « maman contente », son projet s’arrêtait là, et il restait muet en classe!


Le geste mental d’imagination créatrice nous permet d’exprimer notre créativité, de projeter une autre réalité que celle que nous percevons. Comme pour le geste de mémorisation, ce geste s’accomplit du présent vers le futur: « c’est au moment de la perception que s’acccomplit le geste mental qui déclenche l’imagination ». 

Je ne peux accomplir ce geste mental d’imagination créatrice que si j’ai le projet mental de « m’investir personnellement dans ce que je perçois », « à la première personne », pour ensuite me donner la liberté de transformer les images issues de ma perception. 

A. de la Garanderie compare ainsi deux personnes qui visitent un appartement: l’un reste totalement extérieur à la réalité perçue, l’autre s’implique totalement (« je verrai bien une très grande pièce à vivre si l’on abattait cette cloison »…) et s’autorise ainsi à ne pas se figer dans la reproduction du perçu.


Ce n’est ici qu’un aperçu des travaux de La Garanderie, dont le regard est avant tout un regard d’espoir sur tout être humain: il n’y a jamais de fatalité dans l’échec. Travailler sur ses propres gestes mentaux, c’est véritablement se réapproprier sa propre intelligence, découvrir que l’on est maître de ses gestes mentaux, et par là même atteindre une forme de liberté personnelle. Aider autrui à entraîner ses gestes mentaux, c’est l’accompagner vers la prise de conscience de l’étendue insoupçonnée de ses capacités mentales.


Pour aller plus loin, il est possible de consulter quelques sites internets: un bon article de wikipedia, des sites spécialisés, comme par exemple http://www.ifgm.org 

Voir aussi le témoignage et la sélection de liens sur http://pratic.canalblog.com


Il est bien sûr vivement conseillé de lire les ouvrages d’A. de la Garanderie.

Les citations reprises sur ce billet sont empruntées à un ouvrage qu’il a co-écrit avec Daniel Arquié, « Réussir ça s’apprend » (Bayard Editions), essentiellement destiné aux parents. Citons aussi « On peut tous toujours réussir » (Bayard), « Les profils pédagogiques » (Bayard), « Apprendre sans peur » (Chronique sociale). 
Pour ceux qui se préoccupent d’accompagner des personnes qui apprennent, je recommande chaudement le livre de Marie-Françoise Chesnais, « Vers l’autonomie, l’accompagnement dans les apprentissages », chez Hachette Education.

mercredi 14 janvier 2015

La questiologie ou l'art de poser les bonnes questions: Frederic Falisse at TEDxPantheonSorbonne

Storytelling des managers

Ce module va décrire deux types de pensée existant chez l’humain pour créer : d’une part la pensée créative basée principalement sur l’intuition et sur l’émotion, et d’autre part la pensée rationnelle basée sur la logique et l’analytique. Ces deux modes de fonctionnement antagonistes sont complémentaires.

Comme l’affirme Descartes lui-même : «l’entendement n'est rien sans le secours de l'imagination. En réalité, c’est dans la complémentarité que se forgent les plus grandes découvertes. 

L’alternance entre ces deux processus de pensée peut être organisé par l’intermédiaire d’exercice, ou de façon involontaire. En effet, dans notre vie quotidienne face à un problème sont somme tous soumis à ce choix. De plus, comme le souligne Bachelard, il n’est pas rare dans un processus scientifique de découvrir des fulgurances créatives et inversement.

La créativité s’exprime donc dans ces deux processus de pensée et surtout dans leur rencontre inattendue.

La pensée critique est également abordée ici notamment pour nous aider à éviter les biais cognitifs. En effet, les biais cognitifs nous empechent de prendre les bonnes décisions et cela influe sur nos choix au cours du processus créatif. il est donc important d'en avoir conscience pour assurer plus de succès à nos projets !

mercredi 7 janvier 2015

storytelling France

Bonjour à tous,
Il y a quelques jours, je vous ai envoyé un lien vers une étude personnalisée : j'évalue effectivement votre storytelling, et vous donne mon analyse et mes conseils, tout cela gratuitement. Si vous n'êtes pas déjà en train de remplir ce questionnaire, faites-le : vous recevrez d'autant plus vite des pistes concrètes pour améliorer votre communication.
Je suis en train de répondre à certains d'entre vous, car je reçois des questionnaires tous les jours : et je peux vous dire que les enjeux de communication des uns et des autres sont des plus passionnants et importants !
En attendant de partager des secrets de storytelling avec vous d'autant plus précieux qu'ils seront complètement personnalisés, voici quelques secrets de plus, également utiles :
- un résumé - bilan de ce que nous avons vu ensemble
 depuis le début de notre partage de secrets : comment mettre du storytelling dans votre communication !

J'adore ces deux ressources.
C'est d'habitude à ce moment que je reçois le plus de demandes de personnes qui sont chaudes-bouillantes : elles veulent démarrer leur storytelling, là maintenant. Patience ! Le mieux est de débuter par un bout : avec une analyse express d'un texte sur lequel vous êtes en train de travailler
 (c'est très concret) ; ou une séance en vidéo-conférence
, pour analyser votre communication de vive voix et amorcer votre storytelling, le mettre sur de bons rails (du très concret aussi). Nous avons beaucoup de demandes, mais nous arriverons à caler un rendez-vous avec vous.
Et si vos besoins sont plus grands : contactez-nous directement
.

Bien narrativement,
Stéphane Dangel

dimanche 4 janvier 2015

Wdl. Une bibliothèque numérique mondiale